Dans l'ombre des châteaux oubliés
En ruine gisent les pierres de l'éternel
Les remparts s'élèvent et protègent
Cet ancien sanctuaire lunaire
La musique y est toujours jouée
Et le violon étincelle
Jusqu'à ce que le roi de son Siège
S'avise de le faire taire
Puis dans l'ombre du temps l'infortune oubliée
Reprend son droit éternel
Elle qui n'élève ni ne protège
Déploie son doux voile lunaire
La musique un jour ne fut plus jouée
Et le violon éteint cède
Jusqu'à ce que l'ancien roi de son défunt Siège
S'avise de ne plus se taire
Ainsi l'ombre ne peut apaiser
Prenant la vie de ses larges ailes
Et l'être roi de son éthéré Siège
Parfois choisit le gris lunaire
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